Paroles de chansons Current 93 - Locust
What is all this love for
If we have to go out in the dark
Lalalalalala
What joy we had
In the locust summer
What fires we lit
In the locust years
Black hundreds
Black thousands
Lalalalalala
What joy we had
In the locust summers
What fires we lit
In the locust years
Black hundreds
Black thousands
Rivers that run
Rippled with red
Ravaged and raped
With our roar roar roaring
Lalalalalala
What joy we had
In the locust summer
What fire we lit
In the locust years
For only the strong survive
All of the weak are trampled under
All of the weak are trampled under
Lalalalalala
This is only here in this place
And with these parting tears pour of the flesh
A freaking and falling
A crying and calling
Foreign words crawling rivers
Beaches moment's ebbing
Broken watches
Launch cathar
Mama in my room
You left me burning
You left me burning
You left me burning
Lalalalalala
Animals melting servants screaming
Crouched in corners coughing crying
Renting scalding masts of walls
Chanting scalding baby dying
And life force ebbing
Lalalalalala
What joy we had
In the locust summers
What fires we lit
In the locust years
Bloody tower of hysteria
A bloody vase of rape
He calls the living
He calls the dying
He breaks the thunder
And then it seemed as if
The whole world was burning
For only the strong survive
All of the week get trampled under
Lalalalalala
What joy we had
In the locust summers
What fires we lit
In the locust years
Black hundreds
Black thousands
Rivers that run run rippled with red
Ravaged and raped
With our roar roar roaring
What screaming joy
In the locust years
Nick my life away
Lick my life away
Lalalalalala
What joy we had
In the locust summers
What fires we lit
In the locust years
Quel est tout cet amour pour
Si nous devons sortir dans le noir
Lalalalalala
Quelle joie nous avons eu
Pendant l'été acridien
Quels feux nous avons allumés
Dans les années acridiennes
Des centaines de noirs
Des milliers de noirs
Lalalalalala
Quelle joie nous avons eu
Dans les étés acridiens
Quels feux nous avons allumés
Dans les années acridiennes
Des centaines de noirs
Des milliers de noirs
Des rivières qui coulent
Ondulé de rouge
Ravagée et violée
Avec notre rugissement rugissement rugissant
Lalalalalala
Quelle joie nous avons eu
Pendant l'été acridien
Quel feu nous avons allumé
Dans les années acridiennes
Car seuls les forts survivent
Tous les faibles sont piétinés sous
Tous les faibles sont piétinés sous
Lalalalalala
C'est seulement ici à cet endroit
Et avec ces larmes de séparation coulent de la chair
Une panique et une chute
Un cri et un appel
Mots étrangers rampant sur les rivières
Le reflux du moment des plages
Montres cassées
Lancer cathar
Maman dans ma chambre
Tu m'as laissé brûlé
Tu m'as laissé brûlé
Tu m'as laissé brûlé
Lalalalalala
Des animaux qui font fondre des domestiques en hurlant
Accroupi dans les coins, toussant en pleurant
Location de mâts d'échaudage de murs
Chanter bébé échaudant mourant
Et le reflux de la force vitale
Lalalalalala
Quelle joie nous avons eu
Dans les étés acridiens
Quels feux nous avons allumés
Dans les années acridiennes
Tour sanglante d'hystérie
Un vase sanglant de viol
Il appelle les vivants
Il appelle les mourants
Il brise le tonnerre
Et puis il semblait que
Le monde entier brûlait
Car seuls les forts survivent
Toute la semaine se fait piétiner
Lalalalalala
Quelle joie nous avons eu
Dans les étés acridiens
Quels feux nous avons allumés
Dans les années acridiennes
Des centaines de noirs
Des milliers de noirs
Les rivières qui coulent sont ondulées de rouge
Ravagée et violée
Avec notre rugissement rugissement rugissant
Quelle joie criante
Dans les années acridiennes
Nick ma vie loin
Lèche ma vie
Lalalalalala
Quelle joie nous avons eu
Dans les étés acridiens
Quels feux nous avons allumés
Dans les années acridiennes